Marjolaine Chomel : « On ne sait pas si les prix de l’immobilier vont baisser » (source: Le Progrès)
« On ne sait pas si les prix de l’immobilier vont baisser. »
L’architecte Marjolaine CHOMEL, qui a créé une agence immobilière qui porte son nom revient sur ces 55 jours de confinement à LYON et l’avenir de sa profession.
« On ne sait pas si les prix de l’immobilier vont baisser, si les crédits immobiliers vont être plus difficiles à obtenir. », s’interroge-t-elle . Les petites agences immobilières, comme la mienne, vont plus que jamais devoir se battre pour garder leur place face à la concurrence. Nous vivons une période surréaliste et qui dure dans le temps, lâche avec une certaine inquiétude. Elle se réjouit cependant d’avoir pu faire aboutir cinq compromis pendant cette période de confinement.
« J’ai profité de mon temps libre pour faire beaucoup de couture, des créations artistiques que je projette de vendre aux Puces du Canal car mon objectif est d’ouvrir une « tôle » à la Hall Louis la Brocante. Moi qui ne regardais presque pas la télévision, j’ai découvert des programmes intéressants. Le confinement m’a donnée le temps et l’envie de prendre des nouvelles de nombreuses personnes et d’approfondir les relations que je peux avoir avec elles. Et bien sûr, j’ai été en contact fréquent avec mes trois fils, confinés à la campagne. »
Article Le PROGRES/ Laurence PONSONNET/ 12 Mai 2020
Source: https://bit.ly/2Lwtx2A
L’architecte Marjolaine CHOMEL, qui a créé une agence immobilière qui porte son nom revient sur ces 55 jours de confinement à LYON et l’avenir de sa profession.
« On ne sait pas si les prix de l’immobilier vont baisser, si les crédits immobiliers vont être plus difficiles à obtenir. », s’interroge-t-elle . Les petites agences immobilières, comme la mienne, vont plus que jamais devoir se battre pour garder leur place face à la concurrence. Nous vivons une période surréaliste et qui dure dans le temps, lâche avec une certaine inquiétude. Elle se réjouit cependant d’avoir pu faire aboutir cinq compromis pendant cette période de confinement.
« J’ai profité de mon temps libre pour faire beaucoup de couture, des créations artistiques que je projette de vendre aux Puces du Canal car mon objectif est d’ouvrir une « tôle » à la Hall Louis la Brocante. Moi qui ne regardais presque pas la télévision, j’ai découvert des programmes intéressants. Le confinement m’a donnée le temps et l’envie de prendre des nouvelles de nombreuses personnes et d’approfondir les relations que je peux avoir avec elles. Et bien sûr, j’ai été en contact fréquent avec mes trois fils, confinés à la campagne. »
Article Le PROGRES/ Laurence PONSONNET/ 12 Mai 2020
Source: https://bit.ly/2Lwtx2A